LA COMPÉTITIVITÉ MONDIALE EST DEVENUE UN VERITABLE ENJEU POUR L’AFRIQUE ET LE CAMEROUN SE POSITIONNE STRATEGIQUEMENT GRACE A LA RICHESSE DE SON SOL.

LA COMPÉTITIVITÉ MONDIALE EST DEVENUE UN VERITABLE ENJEU POUR L’AFRIQUE ET LE CAMEROUN SE POSITIONNE STRATEGIQUEMENT GRACE A LA RICHESSE DE SON SOL.
« Les micros, petites et moyennes entreprises africaines ont besoin de nouvelles politiques de soutien et d’accompagnement pour renforcer leur productivité et exploiter les débouchés commerciaux existants afin de contribuer à l’éclosion d’un secteur privé compétitif » a déclaré S.E.M. Achille BASSILEKIN, Ministre des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Economie Sociale et de l’Artisanat au Cameroun.
A cet effet, pour assurer une meilleure sécurité alimentaire, le développement du secteur agricole est un impératif pour la croissance économique nationale. Aujourd’hui, la SND30 fixe le cap vers une transformation structurelle de notre économie et met en exergue des filières à fort potentiel économique. Ces dernières sont prioritaires pour le Guichet Agricole de la BC-PME et elles sont au nombre de cinq (05). Nous parlerons de la 1ère la filière identifiée notamment « les farines locales » que sont la banane plantain, la patate douce et nous insisterons sur le manioc.
Pourquoi le manioc ? Le manioc (et ses dérivés) a été choisi comme produit phare et stratégique du Cameroun pour aller conquérir d’autres pays au moment de l’abaissement des barrières tarifaires et non tarifaires de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF). Aliment de base consommé par plus 500 millions de personnes en Afrique, le manioc offre un potentiel unique de création de valeur ajoutée en vue d’une mise en œuvre de la ZLECAF. A la BC-PME, nous avons arrimé notre vision stratégique sur le financement et l’accompagnement du secteur agricole afin d’être aligné aux orientations de la politique nationale de développement.

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